
Livre broché
Code éditeur : EXP01
ISBN : 978-2-490426-54-6
13,5 x 21,5 cm,
200 pages
12,00 €
Livre numérique
Code éditeur : EXPN01
PDF & EPUB3 sans DRM
4,00 €
Demain commence hier
Expresso #1, avril 2025
En un joli petit volume aussi serré et peu onéreux qu’un expresso, cette collection voudrait célébrer des nouvellistes actifs à la fin du siècle passé en mettant en perspective leur apport aux genres de l’Imaginaire.
George W. Barlow, poète, essayiste, romancier, nouvelliste critique, anthologiste et fin lettré est de ceux-là, et non des moindres. De l’humour bien tempéré de L’Effeuilleuse affolée au fantastique macabre d’Obole à Charon, du space opéra humaniste de Des fleurs sur son fumier à la plume expérimentale de Poisson aveugle, des saillies provocatrices des Dragos à la prose poétique du Lendemain des salamandres, survol d’une œuvre présenté par Jean-Pierre Andrevon et commenté par l’auteur.
Sommaire
• Un Français très anglais, et vice-versa, préface de Jean-Pierre Andrevon
• L’Effeuilleuse affolée (première publication : Lunatique ° 42, 1968, sous le pseudonyme de Bela Gregorov)
• Trois variations concertantes sur un thème à deux temps (première parution : Lunatique n° 48, 1968)
• À l’ombre d’une jeune fleur (première parution : Univers 1982, J’ai lu SF n° 1340, 1982)
• Des fleurs sur son fumier (première publication : Lunatique n° 38, 1968)
• Demain les chiens… et les chattes (première parution : Fiction n° 251, 1974)
• Poisson aveugle (première publication : Univers 05, J'ai Lu - SF n° 665, 1976)
• Obole à Charon (première publication : Proxima 08, 1985)
• Les Dragos (première publication : Retour à la Terre 2, Denoël - Présence du Futur n° 216, 1976)
• Le Lendemain des salamandres (première publication : Lunatique n° 21, juin 1966)
• Entretien
• Bibliographie
Ils en ont parlé
Jean-Pierre Andrevon (préface) : « La publication dans ce recueil d'un choix représentatif des nouvelles de George W. Barlow, parmi les meilleures, outre qu’il méritait depuis longtemps cet hommage, est bien la preuve qu'on ne dit jamais adieu. »