Didier PEMERLE

Didier Permerle explique n’avoir pas fait grand-chose à part écrire, travailler comme archiviste et rêvasser jusqu’à la publication de son premier roman : Assise devant un décor de tempête, collection «l’Écart» dirigée par Michel-Claude Jalard, Robert Laffont, 1970, suivi d’Un monument au mont Gerbier-de-Jonc, même collection, même éditeur, 1973, d’Il tombe, P.O.L. / Hachette, 1979 ; d’À trois jours de moi, Robert Laffont, 1985. Invité en 1975 à faire partie du collectif de la revue Change. Les deux romans écrits respectivement en 1988-1989 et 2000-2019 n’ont pas trouvé d’éditeur. Traductions de l’anglais : science-fiction (liste sur Noosfere) ; poésie (Jerome Rothenberg, Clayton Eshleman, Pierre Joris et, en binôme avec Robert Louit (1947-2009), Bob Dylan (envisagé comme poète), Lyrics — Chansons 1962-2001, Fayard, 2008 ; ethnologie (collection «Terre humaine»), arts — dont photographie et marionnettes (monumentale Encyclopépie mondiale des arts de la marionnette sous la direction du regretté Thiéri Foulc, 1943-2020 ; revue Puck sous la direction de la regrettée Brunella Eruli). Il est né en 1943 à Paris.